jeudi 26 mars 2009

La nature a horreur du vide‏

Je n’apprecie guere la chute libre. Et poutant que la montagne etait belle avec ses paysages fantastiques , sa nature éclatante.
L’effort pour le reconfort. Tout en haut l’horizon s’est présenté comme une offrande.
Soudain pris de vertiges ou par manque d’oxygene, brutale fut ma chute.
Helas mes petites ailes encore trop fréles qui m’avaient poussé dans le dos ces dernieres semaines ne furent pas suffisantes.
Pris dans les turpitudes de l’amour , secoué par tant d’émotions mes plus beaux sentiments se transformérent en doutes.
Mais qui ne tue pas rends plus fort parait-t-il.On ne me reprendra-plus....c’est toujours ce qu’on dit...

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