jeudi 26 mars 2009

La nature a horreur du vide‏

Je n’apprecie guere la chute libre. Et poutant que la montagne etait belle avec ses paysages fantastiques , sa nature éclatante.
L’effort pour le reconfort. Tout en haut l’horizon s’est présenté comme une offrande.
Soudain pris de vertiges ou par manque d’oxygene, brutale fut ma chute.
Helas mes petites ailes encore trop fréles qui m’avaient poussé dans le dos ces dernieres semaines ne furent pas suffisantes.
Pris dans les turpitudes de l’amour , secoué par tant d’émotions mes plus beaux sentiments se transformérent en doutes.
Mais qui ne tue pas rends plus fort parait-t-il.On ne me reprendra-plus....c’est toujours ce qu’on dit...

vendredi 20 mars 2009

La compréhension est le plus grand cadeau qu'un être humain puisse faire à un autre

« Grand Torino » film de Clint Eeastwood. Basé sur un scénario minimaliste. Le grand Clint pas seulement par sa taille porte un regard désabusé, amer, sur l’Amérique d’aujourd’hui.
Lui qui porte les valeurs d’une Amérique conservatrice et peu enclin au partage se sent aussi responsable de cette dérive irrespectueuse. Liens familiaux distendus, tensions communautaires, pertes de repères et de la valeur travail. Vivre à coté ce n’est pas vivre ensemble constate Clint. La non communication est la non compréhension. Véritable fil rouge de son film la « Grand Torino » voiture déjà qu’il possédait au temps de l’inspecteur Harry est ce lien de transmission générationnelle. Montre moi ta voiture je te dirai qui tu es.
L’Amérique est ses démons. Rongé par la culpabilité, celle-ci à toujours du mal à s’affranchir et se libérer de ses cauchemars vietnamiens et coréens semble dire Clint. Ce parallèle entre cette Amérique replié sur elle-même, égoïste et cette culture asiatique basée sur le respect et l’offrande à l’autre. Qui pourtant peuvent ce retrouver, partager et s’aimer dans un respect mutuel. La différence est une richesse.
Le bonheur d'avoir ou d'obtenir n'existe pas, seul celui de donner compte.

jeudi 19 mars 2009

C'est la crise et je crise

C’est la crise et je crise. Constater et se lamenter du désarroi partout autour de nous. Solidarité, respect à tous ceux pour qui le soleil à peine levé s’est déjà couché. Espoir et désespoir se mêlent et pourtant les corps se rencontrent. Les naissances n’ont jamais été aussi nombreuses lorsque la mort rode devant les portes. Constat paradoxal du siège de Sarajevo ou de la guerre du Liban. La nature humaine révèle souvent dans un vain sursaut sa nature survivante et ses espoirs pour un futur meilleur. Il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que tant qu'on ne les a pas tentées.

mercredi 18 mars 2009

Premiers Jours et Premieres Amours

Voilà c'est fait je rejoins mon ami ecrivain daniel http://rhumeurdujour.blogspot.com/ . Refaire le monde , refaire notre monde grand debat devant l'eternel. Conversation de bistrot et debat d'idée.l'inspiration sera féconde. Karine "l'insoutenable legerete de l'etre" toi ma muse je te dedie ce premier jour et ces premiers mots. L'important c'est d'y croire sans s'en apercevoir.Peu importe ce qu'on laisse A tous ceux qui nous d'élaissent.Qu'on survive ou qu'on disparaisse.